La vie dans son écrin intime
Ses plus bas et plus hauts
En yoyo de vie qui dispose
Du petit être son seul pantin
Alors tenter dans le bas de rebondir
Et dans le haut de flotter d’aises
La vie seule sait ce qu’on ne sait pas
Elle laisse un peu percevoir
C’est déjà cela
Et les temps en seul ressourcent
Et les temps en complices caressent